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Dans un communiqué publié conjointement le Vice-Président de la Commission Européenne Maros Sefcovic et la Ministre britannique responsable des Affaires Étrangères Liz Truss ont déclaré vendredi que les deux parties continueraient les discussions « intensives » à propos de l’Irlande du Nord dans les jours à venir. Une nouvelle positive qui, si elle n’annonce rien de concret, est dans la lignée des échanges constructifs de ces dernières semaines.

Critiqué par l’ambassadeur ukrainien à Berlin pour sa discrétion, le gouvernement d’Olaf Scholz a déclaré ce week-end que des sanctions financières seraient prises « immédiatement » à l’encontre de la Russie en cas d’offensive envers Kiev.

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Le cabinet du Premier Ministre britannique Boris Johnson a expliqué vendredi que le concerné a souligné lors d’un sommet virtuel stratégique qu’il craignait pour la sécurité de l’Europe. Il a également réitéré le fait qu’un ensemble de sanctions économiques était prêt à entrer en vigueur si la Russie devait prendre la décision d’attaquer l’Ukraine. Ce sommet réunissait notamment les décideurs américains, italiens, polonais, français, roumains et allemands, ainsi que ceux du Conseil Européen, de la Commission Européenne et de l’OTAN.

L’ambassadeur ukrainien au Royaume-Uni Vadym Prystaiko a clarifié ce matin les remarques d’un possible abandon des démarches d’adhésion à l’OTAN du pays. « Nous ne sommes pas un membre de l’OTAN pour le moment et pour éviter une guerre nous sommes prêts à de nombreuses concessions ». Il ajoutait que « comme ils ne font pas partie de la famille pour le moment alors ils doivent chercher à mettre en place d’autres solutions, comme des accords bilatéraux avec le Royaume-Uni ou encore les États-Unis ».

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La Maison Blanche a annoncé vendredi qu’une « attaque rapide » russe envers Kiev était « une possibilité très réelle » pour ces prochains jours, provoquant une panique mondiale et renforçant le sentiment de risque qui plane sur les marchés. En conséquence, le billet vert venait à gagner du terrain face à l’euro. Le gouvernement a ainsi expliqué « observer les signes d’escalade russe » comme « l’amassement de nouvelles troupes militaires à la frontière avec l’Ukraine ». Dans l’optique de calmer l’hystérie occidentale le Président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est ainsi entretenu dimanche avec son homologue américain Joe Biden. Si l’ukrainien a remercié les États-Unis pour l’aide militaire apportée, les deux protagonistes se sont accordés quant au fait de faire appel à « la diplomatie et à la dissuasion ».

L’AGENDA ÉCONOMIQUE DE LA JOURNÉE

17h00 : Discours de Bullard (Fed) (USD)
17h15 : Discours de Lagarde (BCE) (EUR)