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L’Organisation Mondiale de la Santé prévoit qu’Omicron provoque une forte hausse des hospitalisations à travers le monde, a déclaré hier une de ses responsables européennes Catherine Smallwood. Cette dernière a appelé à prendre « avec prudence » les informations préliminaires expliquant que les risques d’hospitalisation sont moindres avec Omicron.

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Le Royaume-Uni a de nouveau enregistré hier un record de contaminations, avec 129 471 cas. Le précédent record datait du 24 décembre et était de 122 186 cas. Le Premier Ministre Boris Johnson a d’ailleurs averti ce mercredi sur le fait que la « majorité écrasante des individus qui intègrent les services de soins intensifs sont des personnes n’ayant pas reçu leur dose de rappel ». Pour autant, les chiffres sont toujours bien en-deçà du pic de la pandémie avec approximativement 1 000 personnes admises quotidiennement contre 4 000 en janvier … preuve d’une campagne vaccinale réussie. Johnson a également admis que si « Omicron cause de vrais problèmes puisque l’on peut constater les cas augmenter dans les hôpitaux » il est « évidemment moins dangereux que le variant Delta ».

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Aux États-Unis aussi le nombre de cas de COVID-19 a atteint un record : la moyenne mobile sur 7 jours est désormais de 258 312. Le précédent record, daté du 8 janvier, était de 250 141. Il est estimé par le régulateur américain, le CDC, qu’Omicron est responsable de 58.6% des cas (selon les données du 25 décembre).

Sur le plan géopolitique, le Président palestinien Mahmoud Abbas a rencontré sur le territoire israélien le Ministre israélien de la Défense Benny Gantz. C’est la première fois depuis 2010 qu’Abbas se rend en Israël, marquant ainsi un évènement exceptionnel. Rappelons qu’un nouveau gouvernement est en place en Israël depuis la mi-2021, facilitant ce léger rapprochement entre les deux camps.

L’AGENDA ÉCONOMIQUE DE LA JOURNÉE

14h30 : Stocks de grossistes (USD)