Invasion des lieux de pouvoir au Brésil !

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Le Premier Ministre suédois Ulf Kristersson a déclaré hier être confiant quant au fait de pouvoir obtenir l’aval de la Turquie pour rejoindre l’OTAN, sans pour autant pouvoir répondre favorablement à toutes les conditions imposées par Ankara. De son côté le Secrétaire Général de l’OTAN Jens Stoltenberg a réitéré vouloir finaliser le processus d’adhésion « le plus rapidement possible ». Selon lui, cela pourrait se concrétiser en 2023, ce qui est déjà « très rapide par rapport à tous les processus d’adhésion » à l’alliance.

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Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a déclaré ce dimanche, en amont d’une réunion avec les dirigeants des syndicats du secteur public qui se tiendra ce lundi, être prêt à « discuter honnêtement et raisonnablement » de l’augmentation des salaires des infirmiers. Le chef d’État a évidemment pour objectif de mettre fin aux grèves qui ont aggravé la crise frappant le système de santé britannique. Cette déclaration va à contresens des propos récents tenus par les membres de son gouvernement, qui se montraient jusqu’à présent intransigeants à ce sujet et fermés aux négociations.

Le Ministre britannique des Affaires Étrangères James Cleverly rencontrera ce lundi le Vice-Président de la Commission Européenne Maros Sefcovic dans l’optique de continuer les discussions relatives à un accord sur le protocole de sortie du Brexit pour l’Irlande du Nord.

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Des partisans du Président brésilien sortant Jair Bolsonaro ont envahi le Congrès, le palais présidentiel et la Cour suprême du pays, suivant un scénario qui rappellera l’invasion du Capitole américain par les partisans de l’ancien Président Donald Trump. Ces attaques violentes et anti-démocratiques ont été condamnées par le nouveau Président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, mais aussi à l’international par des personnalités telles que Joe Biden, Emmanuel Macron ou même le Porte-Parole du Kremlin Dmitry Peskov. Lula a accusé Bolsonaro d’avoir attisé la haine de ses suiveurs après une campagne remplie d’allégations relatives à des fraudes lors l’élection, pendant que le principal intéressé a démenti et expliqué que si les démonstrations pacifiques étaient en accord avec la démocratie mais que les coupables avaient « dépassé la ligne » avec de telles invasions. En ouverture des marchés, les analystes craignent le contrecoup de cet épisode insurrectionnel et s’attendent à une forte volatilité à court terme liée à l’instabilité politique sur place.

L’AGENDA ÉCONOMIQUE DE LA JOURNÉE

18h00 : Discours de Mann (BoE) (GBP)